Γράμμα
ἀπὸ
«
Τὸ
Ὑπὲρ
~ Πέραν »,
τῆς
21/3/2018.
Οh
Mon Pays,
[La France ! Chère de mon cœur]
jadis connu superbe, par la noblesse de ta langue, parlée des
diplomates et écrite des poètes ! Quel malheur à toi, et aux
enfants que tu portes, qui ne sont plus hélas que les tiens...
Oh
cieux de la Seine, quel Scène funèbre à mes yeux décrire, par le
malheur de ton destin, qui n' est jamais beau, ce jour. Mais réjouis
toi, car tu as La Chance Divine de survie ! Chance à laquelle,
certains des tes voisins du
cœur
aux antipodes de leur destin, qui fut souvent contre tes murs des
frontières, ne la trouveront jamais nulle part..
Oh
mes 2 pays de jadis [voisins
depuis les lustres des temps] que
je fus moi même le pire des poètes et le pire des lettres écrites
aux cœurs des gens, je n' ai pas le droit de parler
du bonheur, car je fus moi même le père des malheurs des tant des
autres, qui ne portent pas mon pardon
à leurs cœurs..
Réjouis
toi mon cœur de mon pays de jadis, car ton bonheur y
prenne déjà place, entre tes mains, mais toi, tu lui tournes
le dos...
Réjouis-toi,
car ton bonheur, il te vienne, par ceux qui ont cheminé sur ton
sol de jadis, et qui furent vraiment "Grands",
dans Le Cœur, De
Lui Seul,
Qui Devait être ton Gouverneur et pas la vergogne de
leurs passions, des tant de tes actuels habitants, et des
leurs défauts nommés "pouvoirs
privés",
à la lettre de ceux qui font leurs crimes "lois
de l' état"
via Le Pouvoir Public, gagné par les votes de tes citoyens, en
oubliant que jamais eux-mêmes, ils ne font pas partie De L' État
Divin, qui Gouverne tous Ses Étoiles et Ses Galaxies...
Je
vous laisse, abandonner les parchemins de mes passés, car je fus
ignoble, aux vertus qui me manquaient, à la manque d' un pardon et
d' une vie à se repentir au temps juste, avant
laisser son dernier souffle sur terre, et aller aux couloirs Des
Palais DE
LA JUSTICE DIVINE NON BÂTIE...
Malheur
à vous, qui vous lui échappez jamais ! Le destin, ayant tracé votre
route, des centaines des incarnations passés, comment voulez vous
oser, changer même, à la une seconde de la minute qui vous reste,
souvent hélas comme la dernière minute de votre vie...
Honoré
Gabriel Riqueti,
comte
de Mirabeau,
1749-1791